Au Japon 2019 est l'année du sanglier (inoshishi), c'est le cochon pour la Chine, ou encore l'ours pour d'autres régions-peuples d'Asie.
Le sanglier arrive en douzième place (après le chien), il clôture l'horoscope.
Lors de ce voyage dans le Kansai, nous sommes allées visiter le sanctuaire Goō-jinja, à Kyoto, le sanctuaire du sanglier. Qui est situé près du parc du Palais Impérial.
Les gens viennent prier dans ce lieu pour guérir des problèmes de jambes ou encore d'asthme...Le sanctuaire est lié avec une légende de sangliers guérisseurs.
http://www.gooujinja.or.jp/
Les gens viennent prier dans ce lieu pour guérir des problèmes de jambes ou encore d'asthme...Le sanctuaire est lié avec une légende de sangliers guérisseurs.
http://www.gooujinja.or.jp/
Dans les représentations (omikuji, ema, cloche dorei, statues), il fait partie de ceux que je trouve les plus mignons avec la souris (ou rat) et le lapin, il a une très très bonne bouille, et il est considéré comme un très bon signe.
C'est un des aspects de la culture japonaise que je préfère, découvrir ces "petits" sanctuaires shinto dédiés aux animaux (ou autres,), et collectionner les Omikuji à l'effigie du sanctuaire. J'aurais aimé en faire-voir beaucoup plus. Des endroits "spirituels" vraiment très charmants (et tranquilles, comme il y a moins de monde).
L'Omikuji sanglier du sanctuaire Goō (et le petit cochon rose vient de Sarlat).
Le Sanglier et les Fraisiers
Des sangliers, il y en a partout et sous toutes les formes : en bois, en pierre, en papier mâché, peints, sculptés.. ! ^.^
Les statues gardiennes : ici donc des Komainoshishi ! ^.^
Ne sont-ils pas adorables ? ^.^
Un petit couple de jeunes mariés. ^^
Dans l'Art Japonais :
Kōno Barei
Je n'ai pas la date précise de cette œuvre de l'artiste Kyotoïte de la fin du 19ème siècle.
Je n'ai pas la date précise de cette œuvre de l'artiste Kyotoïte de la fin du 19ème siècle.
Dans la culture manga :
Ce n'est pas un sanglier, mais un petit cochon noir de Chine (un cousin éloigné).
P-chan (ou "Petite Puce" dans la première édition de la version française) la transformation de Ryōga Hibiki du manga Ranma 1/2, de Rumiko Takahashi.
La mangaka a reçu le Grand Prix du 46 ème Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême (la deuxième femme qui reçoit ce prestigieux prix) pour l'ensemble de ses œuvres, c'est une mangaka dont j'apprécie son travail depuis que je suis petite, en particulier Ranma 1/2, Inu-Yasha, et sa dernière histoire moins connue Rinne.
C'est intéressant et tes photos sont réussies! Moi aussi j'aime les lieux avec une "âme".Les Inoshishi ont du charme! (^_^) Nezumimi
RépondreSupprimerMerci ! Oui ils sont mignons tous ces sangliers ! ^^
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